Mercredi 25 décembre 2013
C'est là que nous repérons les habitants de la ville, c'est la messe de Noël.
Un peu plus loin un autre parc, le Parque Centenario, qui au point de vue des décorations, n'a rien à envier au précédent.
Nous reprenons la route plein sud direction Pedasi (province de Los Santos) via Las Tablas, soit environ 80 km de route à 60 km/h. La route est de très bonne qualité, nous respectons les limitations de vitesse car la police routière est à l'affût.
Ce village est connu pour son festival de la mejorana qui a lieu chaque année au mois de septembre. Au détour des petites ruelles, nous sommes étonnés de voir plusieurs maisonnettes au toit de tuiles.
On est en milieu de matinée, jour de Noel, les deux cantines situées sur la place centrale sont déjà très bruyante. A propos des cantinas, il faut savoir qu’elles sont exclusivement réservées aux hommes. Les femmes sont tout bonnement interdites d'entrée.
Chez nous en Europe, ce type d'ouvrage ferait partie de la longue liste des travaux inutiles. Des passerelles de ce type jalonnent les grands axes. Le problème, c'est que nous avons vu bien plus de personnes traversant sans les emprunter plutôt que l'inverse. On comprend tout de suite pourquoi!
Cet endroit est loin d'avoir le charme de Guararé mais bon c'est déjà plus une ville qu'un pueblo. Nous y faisons néanmoins une petite halte pour visiter son église coloniale et son retable doré à la feuille. Nous ajouterons ... et son toit percé qui prend l’eau.
La prochaine étape et probablement notre destination finale pour la journée, Pedasi. Rien à dire sur la route si ce n’est qu’elle se dégrade à mesure que l’on approche de la ville. Arrivé à destination, nous cherchons un endroit pour casser la croute. Un panneau indique la direction des plages environnantes, nous suivons l'une d'entre elles. C'est ainsi que chemin faisant nous aboutissons à Playa Venao, laissant Potosi derrière nous. Nous y retournerons probablement plus tard car ça semble être un endroit sympa.
Playa Venao
C’est une très longue plage sans aucune installation particulière. Nous nous installons au rancho (restaurant bar sur la plage) pour manger un bout et profiter de l'endroit. Il y a du monde, latinos pour la plupart. La mer est plutôt calme et ce n’est pas aujourd’hui que nous verrons les supers surfeur défier les vagues.
El Sitio disposant de logements, on s’informe de la disponibilité d’une chambre pour la nuit. Le gars de la réception nous propose une suite pour la modique somme de 169 euro, c’est un peu cher, on décline l’offre.
Apres cette petite
pause nous filons à l’établissement voisin « Le Playa Venao « L’endroit
est superbe, le rancho avec de la super musique en fond sonore, sofas et
parasols face à la mer idéal pour siroter une boisson locale au rythme des
vagues. Difficile de vous en dire plus si ce n'est que c'est cool.
On y passe un bon moment avant d’aller s’informer à l’hôtel attenant. Il est superbe et les prix sont en conséquences, 200 dollars la nuit. C'est tout ce qu'ils peuvent nous proposer ... avec un grand sourire prétendant nous offrir des conditions spéciales. Autant d'argent juste pour y passer la nuit, ce serait du gâchis.
Avant de poursuivre, une petite visite de Chitré s’impose car hier c’était plutôt calme.
Promenade sur le Parque Unión, force est de constater que nous ne sommes pas plus nombreux qu'hier.
Au centre de la place, ce kiosque habitant une belle crèche.
Sur cette même place, cette superbe cathédrale de style colonial du 18ème siècle.
Catedral San Juan Bautista
C'est là que nous repérons les habitants de la ville, c'est la messe de Noël.
Un peu plus loin un autre parc, le Parque Centenario, qui au point de vue des décorations, n'a rien à envier au précédent.
Parque Centenario
En voici un, mais je vous assure les trois rois mages étaient bien là, tous réunis au pied de la crèche.
Allez savoir pourquoi, mais ici à Chitré, le père Noël et ses rennes arrivent en avion.
Ici, tout se loue ...
Nous reprenons la route plein sud direction Pedasi (province de Los Santos) via Las Tablas, soit environ 80 km de route à 60 km/h. La route est de très bonne qualité, nous respectons les limitations de vitesse car la police routière est à l'affût.
Après avoir traversé
la ville de Los Santos, nous arrivons à Guararé.
Ce village est connu pour son festival de la mejorana qui a lieu chaque année au mois de septembre. Au détour des petites ruelles, nous sommes étonnés de voir plusieurs maisonnettes au toit de tuiles.
On est en milieu de matinée, jour de Noel, les deux cantines situées sur la place centrale sont déjà très bruyante. A propos des cantinas, il faut savoir qu’elles sont exclusivement réservées aux hommes. Les femmes sont tout bonnement interdites d'entrée.
Nous continuons en
direction de Las Tablas.
Chez nous en Europe, ce type d'ouvrage ferait partie de la longue liste des travaux inutiles. Des passerelles de ce type jalonnent les grands axes. Le problème, c'est que nous avons vu bien plus de personnes traversant sans les emprunter plutôt que l'inverse. On comprend tout de suite pourquoi!
Passerelle enjambant la route.
Cet endroit est loin d'avoir le charme de Guararé mais bon c'est déjà plus une ville qu'un pueblo. Nous y faisons néanmoins une petite halte pour visiter son église coloniale et son retable doré à la feuille. Nous ajouterons ... et son toit percé qui prend l’eau.
Iglesia de Santa Librada
La prochaine étape et probablement notre destination finale pour la journée, Pedasi. Rien à dire sur la route si ce n’est qu’elle se dégrade à mesure que l’on approche de la ville. Arrivé à destination, nous cherchons un endroit pour casser la croute. Un panneau indique la direction des plages environnantes, nous suivons l'une d'entre elles. C'est ainsi que chemin faisant nous aboutissons à Playa Venao, laissant Potosi derrière nous. Nous y retournerons probablement plus tard car ça semble être un endroit sympa.
Playa Venao
C’est une très longue plage sans aucune installation particulière. Nous nous installons au rancho (restaurant bar sur la plage) pour manger un bout et profiter de l'endroit. Il y a du monde, latinos pour la plupart. La mer est plutôt calme et ce n’est pas aujourd’hui que nous verrons les supers surfeur défier les vagues.
El Sitio disposant de logements, on s’informe de la disponibilité d’une chambre pour la nuit. Le gars de la réception nous propose une suite pour la modique somme de 169 euro, c’est un peu cher, on décline l’offre.
On y passe un bon moment avant d’aller s’informer à l’hôtel attenant. Il est superbe et les prix sont en conséquences, 200 dollars la nuit. C'est tout ce qu'ils peuvent nous proposer ... avec un grand sourire prétendant nous offrir des conditions spéciales. Autant d'argent juste pour y passer la nuit, ce serait du gâchis.
On a compris, il va falloir se
rabattre sur les hôtels à l'écart des plages.
On se renseigne auprès d’un éco Lodge ( eco Venao) non loin d’ici tenu par des Américains
possédant une véritable culture écologique. Reforestation, protection de la
faune, chasse au gaspi, on en veut pour preuve les toilettes sèche, semblables
à celle de notre amis Suisse au Guatemala.
Différent type de logement y sont proposé mais tout est full hormis une cabane « ouverte » nous précise t'on. On s’interroge sur la signification de "ouverte" la réponse n’étant pas plus précise, une visite s'impose.
On suit un petit chemin tracé dans une forêt dense, ...
... nous passons devant les commodités à partager avec la cabane voisine ...
... et découvrons enfin cette cabane "ouverte".
Il s'agit d'une cabane sur pilotis, l'équipement intérieur est très sommaire, un lit et une moustiquaire. Il insiste sur l'importance de veiller à ce que la moustiquaire soit bien fermée! ... ça jette un froid! Le prix, 55$, petit déjeuner non inclus. En nous tendant une bougie pour éloigner les indésirables, le gars nous dit: "don't worry about the bugs, you will get some". Patricia n'est pas rassurée, elle a toujours en mémoire les tarentules au Guatemala et les mygales au Nicaragua. Du coup on n'a pas posé trop de questions, we will see.
Une fois installé (ce qui est très vite fait d'ailleurs) nous filons au bord de la plage pour passer la soirée et compléter le blog.
Sur le coup de 10 h nous regagnons notre cabane à la lueur d'une lampe de poche. Il fait chaud et très humide, qu'elle différence avec le bord de mer de l'autre côté de la rue.
Différent type de logement y sont proposé mais tout est full hormis une cabane « ouverte » nous précise t'on. On s’interroge sur la signification de "ouverte" la réponse n’étant pas plus précise, une visite s'impose.
On suit un petit chemin tracé dans une forêt dense, ...
... nous passons devant les commodités à partager avec la cabane voisine ...
... et découvrons enfin cette cabane "ouverte".
Pour ceux qui on lu le blog, rappeler vous nos commentaires à Panama city concernant l'hôtel.
Il s'agit d'une cabane sur pilotis, l'équipement intérieur est très sommaire, un lit et une moustiquaire. Il insiste sur l'importance de veiller à ce que la moustiquaire soit bien fermée! ... ça jette un froid! Le prix, 55$, petit déjeuner non inclus. En nous tendant une bougie pour éloigner les indésirables, le gars nous dit: "don't worry about the bugs, you will get some". Patricia n'est pas rassurée, elle a toujours en mémoire les tarentules au Guatemala et les mygales au Nicaragua. Du coup on n'a pas posé trop de questions, we will see.
Une fois installé (ce qui est très vite fait d'ailleurs) nous filons au bord de la plage pour passer la soirée et compléter le blog.
Sur le coup de 10 h nous regagnons notre cabane à la lueur d'une lampe de poche. Il fait chaud et très humide, qu'elle différence avec le bord de mer de l'autre côté de la rue.
